Président du Pôle métropolitain « Caen Normandie Métropole », Vice-Président en charge de l’Aménagement et du Foncier, Communauté Urbaine de Caen la Mer, Conseiller municipal de Caen.
Président du Pôle métropolitain « Caen Normandie Métropole », Vice-Président en charge de l’Aménagement et du Foncier, Communauté Urbaine de Caen la Mer, Conseiller municipal de Caen.
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Chargée d’opérations SPLA Caen Presqu’île.
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Chargé de mission Prévention des risques et milieux naturels chez Caen la mer.
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Sébastien Maire est Délégué général de l’association France Villes et territoires Durables depuis septembre 2020, où il anime un collectif d’acteurs engagés dans la promotion de villes durables et résilientes. Fort d’un parcours au service des collectivités locales, il a été adjoint au maire de Besançon, directeur du développement économique à Pantin, puis directeur de cabinet à Montreuil, avant de devenir Haut Responsable de la Résilience puis Délégué général chargé de la transition écologique pour la Ville de Paris. Il défend une vision holistique et systémique du développement durable, centrée sur la résilience territoriale et l’adaptation aux urgences environnementales.
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François Millet est biologiste de formation, naturaliste par conviction, amateur d’oiseaux et de bande dessinée par passion, il initie et pilote des programmes de recherche et de science participatives au Dôme, depuis plus de 10 ans. Il y occupe le poste de Directeur de Projets Sciences & Société.
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Paul Citron est urbaniste et professeur associé à l’École d’Urbanisme de Paris. Diplômé en 2011 du magistère d’aménagement de Paris 1 Panthéon-Sorbonne, il s’est d’abord intéressé à la rencontre entre urbanisme, philosophie politique et enjeux écologiques. Après une thèse sur le rôle des promoteurs immobiliers dans la production urbaine, il cofonde en 2013 la coopérative Plateau Urbain, pionnière de l’urbanisme transitoire, dont il devient directeur du développement puis membre du conseil de surveillance. En 2022, il lance l’association Surface+Utile, dédiée au plaidoyer pour un parc immobilier solidaire au service de l’intérêt général. Engagé pour une ville plus inclusive et durable, il anime également l’émission radiophonique Ainsi va la ville et participe à des collectifs de réflexion sur les nouvelles urbanités.
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Manon Lanjouère est une artiste visuelle formée en Histoire de l’art à la Sorbonne et diplômée de l’école des Gobelins en 2017. Son travail pluridisciplinaire, nourri par la recherche scientifique (astronomie, météorologie, océanographie…), mêle science et poésie pour interroger nos imaginaires et révéler l’ambiguïté de nos perceptions. Entre installations, photographies, sculptures et archives fictives, elle construit des récits où la fiction devient un outil pour explorer notre rapport au vivant, à la Terre et à l’Univers à l’ère de l’anthropocène.
©Jérémie Bôle du Chaumont
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Après une brève carrière d’ingénieur, Laurent Petit se lance dans le monde merveilleux du spectacle en étant tout d’abord jongleur puis clown de supermarché. La rencontre avec Eric Heilmann et ses travaux sur les liens entre Mickey la souris et Michel-Ange va lui permettre de jeter les bases d’un genre nouveau, le spectacle para-scientifique, genre où le vrai et le faux se mélangent tellement bien que le public finit par en perdre son latin. C’est à la suite de la rencontre avec le collectif d’architectes Exyzt qu’il va imaginer la première science poétique digne de ce nom et de ce prénom qu’est donc la psychanalyse urbaine.
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Au Conservatoire du littoral depuis 2007, Régis Leymarie se spécialise depuis 2010 dans l’adaptation des littoraux au changement climatique. Il a piloté le projet Interreg LiCCo (2011-2014) et contribue depuis plusieurs années au projet territorial de la Saâne, reconnu localement et régionalement. Géographe de formation, il promeut une approche pluridisciplinaire mêlant sciences, biodiversité et paysage pour rendre l’adaptation des territoires littoraux possible et exemplaire.
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Romuald Poretti s’est consacré dès les années 2000, à l’animation de débats publics sur des enjeux sociaux, politiques et environnementaux.
Engagé dans l’économie sociale et solidaire, il a contribué à Normandie Équitable et dirigé un projet au cinéma LUX. Ses expériences l’ont rapproché de l’artisanat, de la production locale et des entreprises à taille humaine. En 2016, il lance La Bulle, projet qui incarne ses convictions puis plus tard Le pas de côté un activateur de transition et de coopération. Il s’adonne également à l’écriture dans le magazine Grand Format.
© Droits réservés
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Attaché de conservation au CPIE Vallée de l’Orne, il a participé à la série de podcasts « Debout les vaches, la mer monte », où il vulgarise des concepts liés au changement climatique. Il est également co-auteur de l’ouvrage Histoire d’Orne. Vies d’un fleuve., qui explore les interactions entre l’homme et le fleuve Orne à travers des perspectives géographiques et historiques.
© Droits réservés
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Paysagiste diplômée de l’École Nationale Supérieure de la Nature et du Paysage de Blois, elle est cofondatrice et cogérante de l’agence Après la pluie, créée en 2010 et basée à Paris. L’agence intervient sur des projets d’aménagement d’espaces publics, de parcs et de territoires naturels, avec une approche à la fois écologique, technique et sensible. Elle travaille notamment sur la valorisation des milieux existants, l’intégration du vivant et l’adaptation des territoires aux enjeux environnementaux.
© Romain Guichet
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Alice Averlant est chargée d’études Climat-Air-Énergie à l’AUCAME, l’Agence d’urbanisme de Caen Normandie Métropole. Dans le cadre de ses fonctions, elle contribue à l’intégration des enjeux climatiques et énergétiques dans les projets d’aménagement du territoire, en apportant son expertise sur la transition énergétique et l’adaptation au changement climatique. Son travail s’inscrit dans une approche pluridisciplinaire visant à accompagner les collectivités locales dans la mise en œuvre de politiques durables et résilientes.
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Architecte D.P.L.G, il crée l’agence Epicuria Architectes en 1999, après avoir exercé en libéral pendant quelques années en tant que maître d’œuvre mais également en tant que programmiste. Arrière petit-fils, petit-fils et fils d’instituteurs, il vient d’une famille qui s’est consacrée à l’enseignement et pour laquelle l’éducation est un bien fondamental. Une transmission qui a nourri son engagement envers le service public et sa vocation à construire des lieux de savoirs qui élèvent l’esprit.
© Frédéric Stucin
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Architecte et paysagiste-conceptrice, Iris Chervet, trois fois lauréate du concours Europan, développe des projets urbains et paysagers sur des sites littoraux. Elle fonde son atelier en 2018 et intègre l’incubateur Échelle Un en 2019. Engagée dans la recherche, elle participe à La Résidence de l’Eau pour renforcer la résilience des espaces publics parisiens. Elle enseigne à l’ENSA Paris-Val de Seine et intervient régulièrement dans d’autres écoles.
© Antoine Séguin
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Paul Blotin est architecte DE, diplômé de l’ENSACF, il est chargé de projet chez TOPOTEK 1 à Berlin. Lauréat du prix spécial « adaptation au changement climatique » du palmarès Palpite, il a imaginé un projet pour la commune de Bouin (Vendée) face à la montée des eaux. Il viendra partager sa vision de l’avenir, portée par une nouvelle génération.
© Service presse du ministère de l’intérieur
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Paola Viganò, architecte et urbaniste italienne, co-fondatrice et gérante de l’agence d’urbanisme Studio Associato Secchi Viganò à Milan et est en parallèle professeur d’Urbanisme et d’Urban design à l’Université IUAV de Venise et à l’EPFL de Lausanne. Première femme à recevoir le grand prix de l’urbanisme en 2013.
Elle est notamment connue pour avoir développé le concept de “Ville poreuse”. Une approche de l’urbanisme caractérisée par l’interconnexion fluide des espaces, la réduction des frontières rigides et l’intégration de la nature dans le tissu urbain. Paola Vigano prône une ville adaptable, inclusive et ouverte, où les fonctions urbaines et les habitants se mélangent harmonieusement, favorisant ainsi une plus grande accessibilité et une meilleure durabilité écologique.
© Alain Herzog
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Yannick Gourvil est architecte-urbaniste.
Architecte diplômé par le gouvernement (Ensa de Bretagne), titulaire d’un post-master international Recherches en architecture avec un travail sur les résiliences urbaines (Gerphau, Ensa Paris-La Villette) ; et diplômé de SPEAP, le programme d’expérimentation en art et politique de Bruno Latour (Sciences Po Paris) qui lui a permis de renforcer ses méthodes de recherches prospectives et expérimentales à la croisée de l’urbanisme, de l’écologie, des arts et de la politique. Yannick Gourvil est actuellement doctorant en architecture, urbanisme et environnement avec comme sujet : Hériter de la ville anthropocène, habiter l’incertitude des risques naturels (Gerphau, Ecole doctorale de l’Abbé Grégoire, Cnam).
Son parcours d’architecte se déploie selon trois pratiques professionnelles interdépendantes : d’abord la maîtrise d’oeuvre dans son agence parisienne BMC2 Architectes (équipements publics et réhabilitations de grands ensemble du 20è siècle) ; une activité d’enseignant en théorie et pratique de la conception architecturale et urbaine à l’Ensa Paris-la Villette (sur les devenirs des infrastructures face au réchauffement climatique et l’urbanité des risques naturels) ; et un travail de recherche expérimentale en prospectives urbaines sous le nom ET ALORS (Paris + 2°C, Villes estuaires + 1m, Rennes + 6°C, Sol !). Il est depuis peu architecte conseil de l’Etat.
Chemin faisant, Yannick Gourvil précise ses travaux sur la question de la représentation des troubles écologiques sur la ville. Il s’intéresse aux stratégies de métamorphose des urbanités déstabilisées par l’intensification des manifestations dites « naturelles » comme les inondations, les canicules, les sécheresses ou les pollutions. Cette approche mise à l’épreuve pour le concours d’idées AMITER « mieux aménager les territoires en mutation exposés à des risques naturels » sur le site Coeur Côte Fleurie est décernée lauréate avec le projet Habiter le lit majeur de la Touques, stratégies de déplis et de replis face aux risques multiples d’inondations. Cette démarche reçoit également parmi les lauréats le Grand Prix National AMITER par le Ministère de la Transition Écologique.
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Christian Piel, hydrologue et urbaniste, directeur de l’agence Urban Water (bureau d’étude en hydrologie urbaine).
Il a fondé l’agence Urbanwater pour répondre aux besoins nouveaux en termes de gestion, de maitrise et de valorisation des eaux pluviales en milieu urbain. Référent sur ces sujets, il intervient au sein de l’agence en tant que directeur de projet et d’interlocuteur référent auprès des maitres d’ouvrages.
Il a notamment travaillé sur l’aménagement de la ZAC de la Gare de Lyon-Diderot à Paris, un projet de reconversion urbaine visant à transformer un secteur autour de la gare en un quartier mixte et durable. Il a contribué à la réorganisation de l’espace en intégrant des logements, des bureaux, des commerces et des espaces publics, tout en favorisant la mobilité douce et l’accès aux transports. Le projet met l’accent sur la mixité fonctionnelle, la densification raisonnée et la durabilité écologique.
©Simon Guesdon
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